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Ligue des Poètes
Les Poèmes de Claude -
Par Linsolite le 10 Juillet 2019 à 17:10
Dites-moi pourquoi ... (Paroles sur la Compo "Mélancolie")
Dites-moi, mes amis .. Alors oui Dites-moi
Oui, vous qui le savez pourquoi je suis si triste,
Mais pourquoi donc alors puisque rien ne m’attriste,
Moi je ne le sais pas, oui dites-moi pourquoi.
Je cherche sans trouver, sur ma vie pas grand-chose
Une raison pourtant à part les sentiments
Auxquels vont s’ajouter tous les nombreux tourments
Une drôle de vie qui n’a pas été rose.
Lorsque chacun des jours, cherchant toujours l’amour
Sans jamais le trouver matin devant ma porte
Restant persuadé qu’ailleurs il ne m’importe
Parce qu’auparavant j’étais un troubadour.
C’est toi mélancolie
Qui occupe mes nuits
Sombres de mes ennuis
Tu viens pourrir ma vie
Pourrais-je alors un jour, espérer le bonheur
Après ce temps perdu qui m’a rendu morose,
Sans un amour parfait, en fait très peu de chose
Qui aurait pu un jour faire battre mon cœur.
Je vais réaliser maintenant avec l’âge
Comment je vais ainsi devoir finir mes jours
Tout seul et sans amour en espérant toujours
Que mon songe m'apporte un merveilleux mirage.
Lors que me reste-t-il, ne pouvoir que rêver
Que vienne alors le jour, qu’enfin on me délivre
De ce manque d’amour, en m’empêchant de vivre
Tout ce qu’est devenu ma vie et l’achever.
Mais toi mélancolie
Seul gardien de mes nuits
Ma tristesse me suit
À la fin de ma vie.
Claude Turmo le 07/07/2019
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Par Linsolite le 10 Juillet 2019 à 17:10La petite fille égarée …
(avec 26 titres de chansons de Francis Cabrel)
Au matin des mauvais jours
Alors que Je m’étais perdu,
Je vis Le chêne liège, et autour
Saïd et Mohamed très détendus.
Avez-vous vu la Petite Marie, mes Amis
Oui, elle est dans La cabane du pêcheur,
Près de chez les Gitans. Ok merci
Je vais la trouver n’ayez pas peur.
Ce sont Des gens formidables
Des femmes et Des hommes pareils,
Toujours prêts à m’inviter à leur table
Avec guitares et chansons du soleil.
Prenant Les chemins de traverse
Il y a Des roses et des orties,
En longeant Les murs de poussière
Je croise le Gardien de nuit.
Enfin arrivé, je trouve La petite sirène
À l’intérieur, Bonne nouvelle, Elle dort,
Comme une madone oubliée, ma reine
S’éveille radieuse en soupirant très fort.
Belle musique, Je sais que tu danses
Si tu veux pour toi, je serai Le danseur,
En souvenir de notre adolescence
Quand tu dansais contre mon cœur.
Je me souviens, en dansant je te disais
Au cours d’une belle soirée d’Automne,
Dans L’instant d’amour, combien je t’aimais
Ma Dame d’un soir du mois d’Octobre.
Aujourd’hui, Je pense encore à toi
Oui comme autrefois, je te le redirai,
Toujours sincère avec la même foi
Je t’aimais, je t’aime, je t’aimerai.
Claude Turmo 26/09/2015
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Par Linsolite le 10 Juillet 2019 à 17:11
Le Roi … et ses Valets ..
(Poème satirique)
Quand République vient d’engendrer Royauté
Le grand peuple en Gilet Jaune habille la France,
Marche dans la rue pour enfin se révolter
Contre le danger du pouvoir de la finance.
Quand un jeune banquier devenu souverain
Élu des citoyens avec nombreux suffrages,
Au sommet du Pouvoir, la Cour des Suzerains
Pour gérer le magot et qu’eux seuls se partagent.
Les favoris du Roi sont toujours protégés
Il ne remettra pas l’Impôt Sur la Fortune,
Il favorise en plus ceux qui sont fortunés
Tous ceux de ses amis qui veulent plus de Tunes.
Il veut oublier tous ces petits Retraités
Leurs maigres pensions en croulant sous les dettes,
Et ces petites gens ne pouvant festoyer
Ni passer leur Noël et fin d’année en Fête.
Le peuple en a assez de voir tous ces nantis
Pressés autour du Roi alors ils le protègent,
De tous les opprimés qui sont anéantis
Et des gueux dans la rue par faim qui manifestent
Le Roi dans son Palais n’entend pas, dans la Rue
L’angoisse évoquée par tout un peuple en souffrance,
Réclamant ses droits en doléances accrues
Espérant vivre heureux sur la terre de France.
Alors il nous fait des promesses en sachant
Qu’il ne pourra surtout pas en tenir aucune,
Ne pouvant accorder aussi facilement
Car il est piloté par les grandes fortunes.
Braves gens en dessous du seuil de pauvreté
Pouvez diminuer tous les jours vos dépenses,
Une fois vos loyers vos charges à payer
Alors il vous faudra faire maigre pitance.
Claude Turmo le 30/12/2018
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Par Linsolite le 10 Juillet 2019 à 17:12
Que ce monde est fou ! ..
(20 Titres de chansons de Francis Cabrel)
C’est écrit, dans une chanson parmi celles
Qui, comme Mandela, pendant ces temps,
Ou, Mademoiselle l’aventure, très belles,
Que nous chanterons, Le reste du temps.
Marchant dans Ma ville d’un pas tranquille
Je n’avais Pas trop de peine à me déplacer,
Quand soudain un Chauffard roule en ville
Vers les Arènes pour La Corrida et y assister.
Je sais, qu’il faudra, Tôt ou tard s’en aller
Mais je préfère être L’homme qui marche
Longtemps sur cette terre et y rester
D’accord, c’est une Question d’équilibre.
Dans le registre des chansons engagées
Depuis, Les Cardinaux, En costume
Je crois Dur comme fer, à la nécessité
De La dignité pour vivre sans amertume.
Les chevaliers cathares, se révoltant
Contre l’inquisition, parce que hérétiques
Et de leurs idées, sont morts en chantant,
Et vus par l’église comme des anarchiques.
Mais maintenant, si, Le temps s’en allait
On verrait alors, Tourner les Hélicos
Sur Les pays d’à côté, on terminerait
Les vidanges du diable, en héros.
Claude Turmo 27/09/2015
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Par Linsolite le 10 Juillet 2019 à 17:13
Souvenirs d’Orage ….
(22 titres de chansons de Francis Cabrel)
C’était Un samedi soir sur la terre
Une fille arrivait près de moi, venant
S’abriter de l’orage, et des éclairs
D’un vrai tonnerre assourdissant.
Essayant de la protéger, elle avait
Les yeux bleus pleurant sous la pluie
Vous savez, Pas si bête, elle n’était
Qu’un petit Animal cherchant un abri.
Je me sentais comme un Gorille
Avec dans mes bras Le Cygne Blanc
Imagine-toi, rencontrer une fille
Un simple coup de sort assurément.
Dès que la pluie a cessé, je me suis
Assis sur le rebord du monde
Auprès d’elle, les nuages avaient fui
Cessé le tonnerre en quelques secondes
Dans son bavardage, Lisa, car
C’est son nom, me dit avec douceur
Dans le plus grand des hasards
Qu’ Elle écoute pousser les fleurs
Malheureusement aussi pour moi
Elle s’en va vivre ailleurs
Alors Souviens-toi de nous, toi
Avec le souvenir Dans chaque cœur
Maintenant De l’autre côté de toi
J’aimerai lui dire Encore et encore
On ne va nulle part sans moi
Et que Je l’aime à mourir, je l’adore.
Véritable histoire A dormir debout
Tout le monde y pense, adieu
Ce n’était pas ma chance, c’est tout
Alors Tout se finit là, bébé bleu
Claude Turmo 27/09/2015
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